De même que l’âme de l’homme vit en tous ses membres et en chacun d’eux, sans être divisée ni localisée, de même le corps glorieux de Notre-Seigneur est vivant dans tout le Sacrement, par toute la terre, sans division ni enchaînement au lieu, de façon à pouvoir être donné également à tous ses membres, c’est-à-dire à tous ceux qui le désirent dans la foi chrétienne. Et chacun le reçoit tout entier, selon son mode particulier, conformément à ses besoins et à ses désirs. C’est ce qu’on appelle la communion, c’est-à-dire la participation commune; car nous recevons tous en commun le corps de Notre-Seigneur dans le Sacrement, chacun recevant en particulier tout ce que les autres reçoivent ensemble. Et bien que les prêtres prennent à la messe le saint Sacrement sous les deux espèces, ils ne reçoivent pourtant pas plus que les laïques; la consécration est double, celle du calice et celle de l’hostie, mais le Christ n’en est pas moins en entier et sans partage sous chacune des deux espèces. Ruysbroeck: LE MIROIR DU SALUT ÉTERNEL. CHAPITRE VII
Ruysbroeck: Le Sacrement
- Agir pour le Christ.
- agon
- agonistes
- Agostinho (Confissões) – A quoi bon philosopher?
- Agostinho (T:X.10.13-X.12.15) – a certeza e a dúvida da mente
- Agostinho (T:X.3.5-X.4.6) – autoconhecimento da mente
- Agostinho (T:X.5.7-X.6.8) – conhecer e pensar
- Agostinho (T:X.7.9-X.7.10) – natureza da mente
- Agostinho (T:X.8.11-X.9.12) – gnothi seauton
- Agostinho 153 Peixes