destaque
O não-realizado de tudo é expresso no início do Gênesis pela palavra “céus”, Shamaim, que, juntamente com a “terra”, ‘Erets, ambas criadas por Deus-‘Elohim, formam a dialética “não-realizado – realizado”: A terra é o observável realizado, os céus são o “real velado” que nossos físicos descobrem por trás de tudo, um real ainda enterrado sob as “águas”, Maim, mas estas habitadas do Shem, a Semente do Santo Nome, contêm em si todas as informações sobre o futuro desse fabuloso potencial.
original
L’inaccompli de toute chose est exprimé dès le début de la Genèse par le mot « cieux », Shamaïm, qui, avec la « terre », ’Erets, créés tous deux par Dieu-’Elohim, forment la dialectique « inaccompli-accompli » : la terre est l’observable réalisé, les cieux sont le « réel voilé » que découvrent nos physiciens derrière toute chose, réel encore enfoui sous les « eaux », Maïm, mais celles-ci habitées du Shem, Semence du Saint NOM, contiennent en elles toute l’information du devenir de ce fabuleux potentiel.
Cette dialectique « terre-cieux » concernant plus particulièrement l’Homme est précisée au sixième jour du mythe biblique lors de la création de l’’Adam. Cet ’Adam est alors dit « image de Dieu » par deux fois, puis « mâle et femelle », signifiant bien que le modèle de cette bipolarité est en Dieu. Je laisse pour l’instant de côté ce dernier aspect du message divin, que j’ai d’ailleurs abordé dans mon dernier ouvrage, et que je reprendrai plus loin.