{{Homélies — 17, 13.}} Le christianisme est nourriture et breuvage, et plus on y a goûté, plus sa douceur attire l’âme, qui en est insatiable et inassouvie, qui le désire et s’en nourrirait sans fin. Ou encore, de même que si l’on donne à quelqu’un qui a soif un agréable breuvage, dès qu’il a commencé à y goûter, il s’en approche avec avidité et avec une ardeur accrue, ainsi le goût de l’Esprit est presque impossible à apaiser, si l’on peut à bon droit user de cette comparaison.
Celui qui goûte au christianisme en a faim.
- A estrutura metafísica da caridade na sua ordem divina [JBCP]
- A estrutura metafísica da caridade na sua ordem humana [JBCP]
- A estrutura teológico-metafísica da mística eckhartiana
- À l’image de Dieu
- A Palavra silenciosa… [ASEC]
- A Prata Perdida (Lc XV, 8-10)
- A questão da encarnação [MHE]
- A religião e o homem [JBCP]
- A Rosa de Silesius e o Dasein de Heidegger [MEHT]
- A subida do Monte Carmelo