{{Homélies — 17, 13.}} Le christianisme est nourriture et breuvage, et plus on y a goûté, plus sa douceur attire l’âme, qui en est insatiable et inassouvie, qui le désire et s’en nourrirait sans fin. Ou encore, de même que si l’on donne à quelqu’un qui a soif un agréable breuvage, dès qu’il a commencé à y goûter, il s’en approche avec avidité et avec une ardeur accrue, ainsi le goût de l’Esprit est presque impossible à apaiser, si l’on peut à bon droit user de cette comparaison.
Celui qui goûte au christianisme en a faim.
- “O olho que Deus me vê é o olho que O vejo” [MEHT:126-127]
- « N’éteignez pas l’esprit »
- «Apathie» et connaissance
- A base do platonismo
- A Caridade Profanada [JBCP]
- A confusão do psíquico e do espiritual [JBCP]
- A Consciência de Existir [PNHI]
- A Criação em Deus [LSCD]
- A cura do filho lunático (Mt 17,14-21)
- A esperança cristã da imortalidade na eternidade [VPRJ]