Nécessité de s’affranchir des passions.

85. De même que le moineau attaché par la patte et prenant son vol est tiré par la corde et ramené à terre, ainsi l’âme qui n’a pas encore acquis l’« apathie » et qui s’envole vers la connaissance des choses célestes est tirée en bas par les passions et ramenée vers la terre.

86. Quand l’âme est parfaitement libérée des passions, alors elle s’avance sans retour vers la contemplation de ce qui est vraiment, faisant route vers la connaissance de la sainte Trinité. (Centuries sur la charité 1)