De la hiérarchie ecclésiastique. — 2, 3, 5. Il est clair, je crois, pour qui connaît nos mystères, que c’est seulement par de continuels élans vers l’unité, par la mortification et l’anéantissement de tout ce qui lui est contraire, que les êtres intelligents acquièrent de manière immuable l’état déiforme. Car il ne suffit pas de renoncer à toute malice, il faut encore manifester une inflexible virilité, résister intrépidement et sans relâche à tout funeste relâchement, ne jamais cesser de désirer le vrai, mais tendre vers lui, autant qu’on le peut, avec une indéfectible constance, tâchant toujours de s’élever saintement jusqu’à la sublimité de la perfection divine.