«ce n’est pas en luttant avec les passions qu’on les empêche d’entrer dans le coeur. On y parvient par le rassasiement de la conscience » (38e discours).
« Non que les agressions des passions aient disparu. Mais le coeur ne les reçoit plus. Il est mort pour elles. Il vit pour autre chose » (38e discours). « Les délices d’un autre état ont rassasié sa conscience » (38e discours).
Et « un autre désir, plus fort qu’elles (les agressions) l’a emporté dans le lieu même qu’elles attaquaient (38e discours).