L’office des quatre vertus.

Centuries 1, 34. L’office de la prudence est de pousser la faculté irascible à engager le combat intérieur et à se blâmer soi-même ; celui de la sagesse est de pousser la faculté raisonnable vers une exacte et continuelle tempérance et vers la contemplation spirituelle ; celui de la justice est de diriger la faculté concupiscible vers Dieu et la vertu ; celui de la force, de modérer et contenir nos cinq sens, pour que par eux ne soit souillé en nous ni l’homme intérieur, qui est le cœur, ni l’extérieur, qui est le corps,