La joie spirituelle qui vient de l’esprit dans le corps n’est pas du tout corrompue par la communion au corps, mais transforme le corps et le rend spirituel, parce qu’alors il rejette tous les mauvais appétits de la chair, ne tire plus l’âme vers le bas, mais s’élève avec elle, de sorte que l’homme tout entier devient Esprit, suivant ce qui est écrit : « Celui qui est né de l’Esprit est Esprit » (Jean, III, 6, 8). (Triades, 11,2, 9, éd. cit., p. 334.)