La lettre ajoutée au nom d’Abram représente le chiffre un (entendons la lettre A), celle ajoutée au nom de Sara le chiffre cent (c’est-à-dire le R). Et le Sauveur, ” laissant les quatre vingt dix-neuf autres brebis dans les montagnes, sen alla chercher celle qui s’était égarée”. Ainsi donc, le chiffre un est ajouté dans la lettre au nom d’Abram. Il n’y a en effet qu’un seul Seigneur, Jésus Christ, né de la Vierge, et par Lui seul tous les péchés des croyants sont effacés. Ainsi, Il préfigure en Abraham ce qu’Il devait Lui-même accomplir : celui-ci, par l’addition du chiffre un, est proclamé père des nations ; Lui, en assumant l’unité, est fait père et Rédempteur des nations parce qu’Il a rendu la centième brebis à Sarra, c’est-à-dire à l’Église, prémices de la Jérusalem céleste. [Traité des Mystères]
Les noms d’Abraham et de Sarra.
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- A estrutura metafísica da caridade na sua ordem humana [JBCP]
- A estrutura teológico-metafísica da mística eckhartiana
- À l’image de Dieu
- A Palavra silenciosa… [ASEC]
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- A questão da encarnação [MHE]
- A religião e o homem [JBCP]
- A Rosa de Silesius e o Dasein de Heidegger [MEHT]
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