La lettre ajoutée au nom d’Abram représente le chiffre un (entendons la lettre A), celle ajoutée au nom de Sara le chiffre cent (c’est-à-dire le R). Et le Sauveur, ” laissant les quatre vingt dix-neuf autres brebis dans les montagnes, sen alla chercher celle qui s’était égarée”. Ainsi donc, le chiffre un est ajouté dans la lettre au nom d’Abram. Il n’y a en effet qu’un seul Seigneur, Jésus Christ, né de la Vierge, et par Lui seul tous les péchés des croyants sont effacés. Ainsi, Il préfigure en Abraham ce qu’Il devait Lui-même accomplir : celui-ci, par l’addition du chiffre un, est proclamé père des nations ; Lui, en assumant l’unité, est fait père et Rédempteur des nations parce qu’Il a rendu la centième brebis à Sarra, c’est-à-dire à l’Église, prémices de la Jérusalem céleste. [Traité des Mystères]
Les noms d’Abraham et de Sarra.
- “O olho que Deus me vê é o olho que O vejo” [MEHT:126-127]
- « N’éteignez pas l’esprit »
- «Apathie» et connaissance
- A base do platonismo
- A Caridade Profanada [JBCP]
- A confusão do psíquico e do espiritual [JBCP]
- A Consciência de Existir [PNHI]
- A Criação em Deus [LSCD]
- A cura do filho lunático (Mt 17,14-21)
- A esperança cristã da imortalidade na eternidade [VPRJ]