{{Lettres — 3, 119.}} La vie des moines, qui était estimée et tant admirée, est devenue maintenant, comme vous le voyez, objet de dégoût. C’est pourquoi toutes les villes et les villages sont encombrés de pseudomoines, qui rôdent sans raison et au hasard, avec indifférence et en grande confusion ; tous les chefs de familles en sont gênés et vraiment supportent avec répugnance leur seule vue, les voyant fixés à leur porte avec plus d’impudence que des mendiants. C’est pourquoi la vie et les mœurs de ceux qui se comportent bien et vertueusement sont, a cause de ceux-ci, considérées tout à l’heure comme une tromperie, et l’on s’en moque. Quel nouveau Jérémie se présentera pour déplorer justement et comme il convient ce qui se passe chez nous ? Mais j’ai honte d’en écrire davantage.
Les faux moines.
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