4. Ce ne sont pas les aliments qui sont mauvais, mais c’est la gourmandise ; ni la procréation des enfants, mais la prostitution ; ni l’argent, mais l’avarice ; ni la gloire, mais la vaine gloire. S’il en est ainsi, rien dans les êtres n’est mauvais, sinon l’abus, lequel provient de ce que l’âme néglige d’employer les choses selon leur nature. (Centuries sur la charité 3)