Il me semble donc, puisque le Logos lui-même est venu du ciel à nous, que nous ne devons plus aller à aucune école humaine et ne plus nous soucier ni d’Athènes ni du reste de la Grèce, ni non plus de l’Ionie. Si, en effet, nous avons pour maître celui qui a rempli toutes choses des manifestations de sa sainte puissance, par la création, le salut et la bienfaisance, par ses lois, ses prophéties et ses enseignements, ce maître maintenant nous enseigne tout, et par le Logos le monde entier est devenu désormais une Athènes et une Grèce. Protreptique, 11,112