{{Pédag. II, 4.}} Le païen cherche dans une musique molle et énervante l’accompagnement de ses festins licencieux ; le disciple de l’Évangile se plait aux sons d’une harmonie douce et grave, qui élève l’esprit et apaise les troubles de l’âme : il sait d’ailleurs qu’il porte au-dedans de lui-même une lyre sainte, qui est son propre cœur, et dont les accords doivent être plus parfaits que ceux de tout autre instrument.