Ce n’est pas du tout par besoin que Dieu, la plénitude absolue, a amené à l’existence ses créatures : c’est pour que ces créatures soient heureuses d’avoir part à sa ressemblance, et pour se réjouir lui-même de la joie de ses créatures tandis qu’elles puisent inépuisablement à l’Inépuisable. Centuries sur la charité, III, 46 (PG 90, 434)