{{La prière.}} La persévérance dans la prière est le fondement de tout bon effort et la cime où s’accomplissent les oeuvres droites. C’est par elle, quand nous appelons Dieu à tendre une main secourable, que nous acquérons les autres vertus. C’est dans la prière en effet qu’est donné à ceux qui en sont jugés dignes de communier à l’énergie mystique et de rencontrer l’état de sainteté qui, par l’ineffable amour du Seigneur, tourne vers Dieu également l’intelligence elle-même. Il est dit : “Tu as donné la joie à mon cœur”. Et le Seigneur lui-même : “Le Royaume de Dieu est au-dedans de vous”. Que le Royaume de Dieu soit au dedans, qu’est-ce que cela peut signifier d’autre que ceci : la joie céleste de l’Esprit marque clairement de son empreinte les âmes qui en sont dignes ? Car les âmes qui, par la communion efficace de l’Esprit, sont dignes d’une telle grâce reçoivent les arrhes et les prémices de la réjouissance, de la joie, du bonheur que donne l’Esprit, et auquel ont part les saints dans la lumière éternelle au cœur du Royaume du Christ. C’est là, nous le savons, ce qu’a montré l’Apôtre divin. Il dit en effet : “Il nous console dans notre affliction, afin que par la consolation que nous mêmes recevons de Dieu, nous puissions consoler ceux qui sont dans la détresse”. Mais également : “Mon cœur et ma chair crient de joie vers le Dieu vivant”, et : “Comme de graisse et de moelle mon âme sera rassasiée”. De même les versets qui s’accordent à ceux-ci veulent dire la même chose, et font allusion à la joie et à la consolation efficaces de l’Esprit.
La persévérance dans la prière
- Agir pour le Christ.
- agon
- agonistes
- Agostinho (Confissões) – A quoi bon philosopher?
- Agostinho (T:X.10.13-X.12.15) – a certeza e a dúvida da mente
- Agostinho (T:X.3.5-X.4.6) – autoconhecimento da mente
- Agostinho (T:X.5.7-X.6.8) – conhecer e pensar
- Agostinho (T:X.7.9-X.7.10) – natureza da mente
- Agostinho (T:X.8.11-X.9.12) – gnothi seauton
- Agostinho 153 Peixes