La contemplation doit suivre l’action.

5. La voie de l’action ne suffit pas à libérer entièrement l’âme des passions, en sorte qu’elle soit capable de prier sans distraction : il faut encore que des contemplations spirituelles entraînent l’âme. Car l’action délivre l’âme de l’impuissance à se maîtriser et de la haine ; mais les contemplations la débarrassent de l’oubli et de l’ignorance ; et ainsi elle pourra prier comme il faut. (Centuries sur la charité 2)