La constance de l’anachorète

20. La sérénité et les ardeurs du soleil à midi font connaître la patience du matelot; et la privation des choses nécessaires à la vie démontre la constance de l’anachorète à souffrir, car le matelot fatigué par les rayons brûlants du soleil, se jette au milieu de l’eau pour se rafraîchir; et le solitaire battu par l’ennui que lui cause la solitude, se précipite au milieu de la foules, afin d’y trouver la dissipation. {{L’Échelle Sainte: VINGT-SEPTIÈME DEGRÉ}}