{{Lettres — 223 (à Thècle).}} Lors donc que nous sommes dans !a douleur, c’est pour nous un excellent remède de penser à Dieu et aux espérances de l’au-delà, d’entrer dans les sentiments de David, de dilater notre cœur dans la tribulation (cf. Ps 4, 2), de n’être pas opprimé par nos pensées, ni enveloppés de tristesse comme d’un nuage, mais alors surtout de nous attacher à l’espérance, de porter nos regards vers le bonheur céleste réservé à ceux qui supportent l’adversité. Nous serons surtout amenés à supporter les revers et à nous élever au-dessus de bien des hommes lorsque nous souffrons, si nous songeons à ce que nous avons promis à Dieu et à ce que nous avons espéré quand nous avons embrassé la vraie philosophie.