Aussi quelles autres couleurs on remarque dans les arguments des grands écrivains, défenseurs de l’existence de Dieu, lorsqu’ils prennent pour preuve et pour base de leurs démonstrations cet homme lui-même, sinon tel qu’il est, au moins tel qu’il devrait être ! Leurs témoignages acquièrent alors une force réelle, une abondance et une plénitude qui satisfait à la fois toutes nos facultés. Ces témoignages qu’ils puisent dans l’homme, sont doux et semblent nous parler le langage de notre propre nature. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Aussi, malgré la célébrité des beaux génies qui ont fait la glorieuse entreprise de défendre la Divinité par les simples lois de la nature, il n’y a pas une de leurs démonstrations prises dans cet ordre externe, qui ne laisse quelque chose à désirer, non pas par l’insuffisance de ceux qui les ont avancées, mais par l’ordre nécessairement limité dans lequel ils les ont puisées, et parce qu’elles ne peuvent tout au plus prouver, dans le suprême Agent, que ce qui n’est, pour ainsi dire, que la moins saillante de ses facultés, savoir, la puissance. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Dans Dieu, il y a aussi un coeur sacré et un esprit, puisque nous sommes son image ; mais ils ne font qu’un, comme toutes les facultés et puissances de cet être souverain. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
J’avoue que le zèle de la maison de Dieu semble n’avoir rien de plus saint que de publier les lois divines, et de les faire honorer encore plus par notre exemple que par nos prédications. Mais ce Dieu si éminemment cher à toutes les facultés de notre être, ce Dieu qui pourrait porter, à tant de titres, le nom de : notre père par excellence, n’a-t-il pas un coeur qui est peut-être dans l’angoisse et la souffrance de ce que toutes les merveilles qu’il a semées dans l’homme et dans l’univers nous sont cachées par des nuages ténébreux ? Et devrions-nous nous donner un moment de relâche, que nous ne lui eussions procuré le repos ? PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Que ton être redevienne donc un nouvel être ! Que chacune des facultés qui te constituent soit revivifiée jusque dans ses racines les plus profondes ! que l’huile vive et simple se subdivise en une immensité infinie d’éléments purificateurs, et qu’il n’y ait rien en toi qui ne se sente stimulé et réchauffé par un de ces éléments régénérateurs et toujours vivant par eux-mêmes ! PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Au contraire, ces choses divines et spirituelles touchent infiniment plus nos facultés aimantes et admirantes, qu’elles ne se prêtent à toutes les avidités de notre intelligence ; il semble même que ce soit pour nous ménager une plus vaste mesure de cette admiration, qu’elles ne se livrent pas, selon notre gré, à nos perceptions ; car si nous les soumettions ainsi à notre connaissance, nous ne les admirerions plus autant, et par conséquent nous aurions moins de plaisir, puisque s’il est vrai que notre bonheur soit d’admirer, il est vrai aussi qu’admirer c’est moins connaître que sentir, ce qui fait que Dieu et l’esprit sont si doux et en même temps si peu connus. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Or, comme c’est la vie même que ce baume nous apporte, nous ne tardons pas à nous sentir renaître dans toutes nos facultés, dans toutes nos vertus, et dans tous les principes actifs de notre être. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Oui, tu es susceptible d’éprouver les douleurs de l’univers, puisque c’est toi qui as été capable de les occasionner ; et ce n’est qu’autant que tu seras admis à participer à ses douleurs, que tu pourras concourir au développement de ses facultés comprimées : ce ne peut être que par des mouvements coordonnés avec ses souffrances, que tu parviendras à le ramener à la joie, et que ta prière pourra espérer de recouvrer un libre cours. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Mais quoique la nature soit condamnée à l’ennui et au silence, observe cependant qu’elle parle plus haut le jour que la nuit ; vérité que la moindre expérience te confirmera, et ton intelligence t’en apprendra aisément la raison ; elle t’apprendra que le soleil est le verbe de la nature, que quand il la prive de sa présence, elle ne jouit plus de l’usage de ses facultés ; mais que quand il vient lui rapporter la vie par sa parole de feu, elle redouble ses efforts pour manifester tout ce qui est en elle. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Une autre observation qui vient à l’appui de celle-ci, et qui n’est pas moins certaine, c’est que la loi des résultats extérieurs est plus facile à saisir que celle des organes qui les transmettent, et celle des organes qui les transmettent, plus facile à saisir que celle des causes qui dirigent et constituent ces organes eux-mêmes ; parce qu’à mesure qu’on pénètre au-delà de la surface des êtres, leurs facultés sont plus prononcées et offrent par conséquent plus de diversité et d’opposition. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Il fallait donc par conséquent que l’homme fût dépositaire du mobile de ces sept puissances, pour pouvoir les faire agir selon les plans qui lui étaient tracés, et pour maintenir ce lieu choisi dans son repos, ou dans son sabbat, puisqu’il n’y a de repos ou de sabbat pour un être, qu’autant qu’il peut librement développer toutes ses facultés. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
Ce n’est que par là que tu deviens réellement le maître de la nature, et que tu peux l’aider à manifester tous les trésors qu’elle gémit de voir concentrés dans son sein, ainsi que tous ces prodiges et tous ces faits merveilleux dont les mythologies de tous les peuples et toutes les traditions, soit profanes, soit sacrées, sont remplies, et qu’elles attribuent les unes à des dieux imaginaires, les autres aux droits réels qui appartiennent à l’homme revivifié, dans ses facultés, par le principe même qui lui a donné l’être. PREMIÈRE PARTIE – De la Nature
La terre alors pour se délivrer de sa propre mort, fomente et couve les vertus que les cieux viennent de semer en elle : elle développe ses forces resserrées et comme coagulées, elle les accroît par celles qu’elle aspire dans ses élans ; puis elle apporte à sa surface ce compte fidèle de tout ce qui lui a été remis, avec les incommensurables accroissements qu’elle y a joints, par les pouvoirs et le concours de ses propres facultés. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Lorsque nous tombons de quelque endroit élevé, notre tête tourne si fort pendant la chute, que nous ne nous apercevons de rien ; ce n’est qu’au moment du choc que le sentiment vif de la douleur vient nous pénétrer ; encore souvent demeurons-nous sans mouvement et sans connaissance. Telle a été l’histoire de l’âme humaine lors de la prévarication. Elle perdit de vue la région glorieuse d’où elle se précipitait par sa chute, et l’homme tout entier se trouva comme mort et privé de l’usage de toutes les facultés de son être. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Ne craignons donc point de nous égarer, en voyant l’homme au sein de l’univers, comme un roi coupable, livré au pouvoir de tous ses sujets, qu’il a entraînés lui-même aux désordres et à. l’anarchie par l’injustice de son gouvernement ; mais voyons-y en même temps l’éternelle raison des choses, planant au-dessus de cette mer agitée, et tendant par le poids immuable de sa sagesse à faire reprendre à toutes nos facultés désharmonisées, le calme et l’équilibre qui sont le propre de leur nature. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Les puissances et les facultés de notre esprit offriraient sans doute la même loi, en montrant une sorte d’uniformité dans les mouvements des pensées de l’homme, qui ramène tous ses systèmes à un nombre limité de théorèmes et d’axiomes et toutes ses institutions à des formules fondamentales qui ne varient presque pas. L’art médicinal, le moral, le politique, les assemblées délibérantes et scientifiques, enfin ce qui tient à l’ordre religieux, et si j’ose le dire, l’ordre infernal lui-même, tout viendrait en foule ici déposer en faveur de ce principe. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
D’après cela nous n’avons pas besoin de recourir aux Écritures saintes, pour découvrir jusqu’à quel temps remonte l’origine des sacrifices. Pour les sacrifices de gloire, elle remonte à l’époque antérieure à la prévarication de l’homme ; pour les sacrifices sanglants et d’expiation, elle remonte jusqu’au moment où l’homme coupable commença à voir s’entrouvrir pour lui la voie de sa délivrance, et ce moment est celui même où il lui fut permis de venir habiter la terre, puisque auparavant enseveli comme l’enfant dans un abîme, il ne pouvait avoir à sa disposition les matières des sacrifices, n’ayant pas même l’usage de ses propres facultés. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Pour mieux sentir le rapport de ces trois fêtes principales avec l’histoire spirituelle de la régénération de l’homme, il faut avoir sans cesse les yeux fixés sur notre propre nature, et reconnaître que comme nous sommes caractérisés spirituellement par trois règnes ou trois facultés éminentes et constitutives, qui demandent autant de développements dans chacune des trois classes terrestres, spirituelle et divine par où nous passons, il est certain que tous les moyens et toutes les lois qui coopèrent à notre régénération, doivent suivre une marche qui soit conforme à ce même nombre, et analogue à l’espèce de secours qui nous est nécessaire, selon le rapport qui se trouve entre nos divers développements et l’oeuvre de leurs époques correspondantes. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Nous pouvons distinguer ces erreurs en trois classes ; savoir : . Les abominations du premier genre, et dans lesquelles toutes les facultés de l’homme se sont corrompues. . Les abominations pieuses qui ont sans doute commencé pour lui comme les précédentes, c’est-à-dire par sa propre corruption ; mais qui ensuite ont eu simplement empire sur sa faiblesse. . Enfin, les simples superstitions de l’idolâtrie qui descendent des abus et des erreurs deux premiers genres, mais qui n’en ont pas les effets et les suites. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Aussi cette institution de la nouvelle alliance a pour signes quatre grandes unités en efficacité sur nous ; savoir : – La double relation élémentaire qui nous est communiquée par les deux substances ; – Les correspondances de tous les élus, qui depuis l’origine du monde ont assisté au sacrifice ; qui sont assis à la table sainte, et font de là refluer sur notre coeur les paroles sacrées dont ils ont été les témoins, et qui sont probablement supérieures à celles connues dans la consécration ; – L’élément pur ou la vraie chair et le vrai sang qui corrobore toutes nos facultés d’intelligence et d’activité dans l’oeuvre ; – Enfin, le divin agent lui-même, qui sous l’oeil du père répand partout la sanctification dont il a reçu le sceau et le caractère, et qui étant à la fois l’auteur, le ministre et le fondateur de ce signe de son alliance, rétablit par là en nous le poids, le nombre et la mesure. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
C’est lorsque notre enveloppe passagère sera dissoute, c’est lorsque le temps sera roulé pour nous comme un livre, que nous jouirons plus pleinement de l’esprit de vie, et que nous boirons avec le réparateur le jus nouveau de la vigne éternelle qui remettra dans leur parfaite mesure nos facultés originelles, pour être employées alors aux plans qu’il lui plaira de nous prescrire. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Nous voyons qu’ici-bas nos corps sont destinés à jouir de toutes leurs facultés, et à se communiquer entre eux. Lorsqu’ils ne jouissent d’aucune de leurs facultés, ils ne se communiquent rien, comme on le voit pour les enfants du premier âge. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Lorsque de tous ces corps les uns jouissent de leurs facultés, et que les autres n’en jouissent pas, ceux qui en jouissent peuvent communiquer avec ceux qui n’en jouissent pas, et les reconnaître ; tandis que ceux-ci ne connaissent rien des premiers. Appliquons ceci aux lois des âmes. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Celles qui ici-bas ne jouissent point de leurs facultés, sont respectivement dans une nullité absolue ; elles ont beau être placées les unes auprès des autres, elles demeurent ensemble sans se connaître, et sans se transmettre aucune impression. Tel est le cas de la plupart des gens du monde, pour ne pas dire peut-être de l’humanité toute entière ; car pendant notre voyage terrestre, nos âmes sont entre elles comme sont entre eux les corps des enfants au berceau, et elles ne se communiquent réellement pas davantage en comparaison de ces trésors actifs dont elles se seraient enrichies réciproquement, si elles fussent restées dans leur harmonie primitive. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Lorsque quelques-unes de ces âmes sortent de cet état d’enfance, c’est-à-dire, lorsqu’elles quittent leur corps, et qu’après s’être dévouées ici au vrai Ministère de l’Homme-Esprit, elles se trouvent, après la mort, dans la jouissance de leurs facultés, il n’est pas étonnant qu’elles puissent communiquer quelques-uns de leurs trésors aux âmes encore incorporées, quoique celles-ci ne comprennent ni la raison, ni le moyen de cette communication, tout en en ressentant les effets. C’est ainsi que le corps d’un enfant en bas âge peut sentir les impressions salutaires qu’un corps jouissant de ses facultés lui peut occasionner, quoiqu’il n’en voie pas la source, ni ne la puisse connaître. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Enfin, quand plusieurs de ces âmes régénérées jouissent de leurs facultés actives, après avoir quitté leurs corps, il n’est pas étonnant alors qu’elles développent entre elles réciproquement tous leurs rapports, et cela doit paraître si simple, qu’il est inutile d’en chercher des témoignages dans l’ordre physique. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Voici un moyen sûr de ne pas laisser s’éteindre en toi ces premiers éléments de ta vie ; prends garde de sortir un instant de dessus le feu radical et central sur lequel tu reposes, et qui ne doit cesser de te travailler dans la douleur, pour que cette douleur s’étende dans toutes tes facultés et leur fasse produire leurs fruits. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Lorsque la main de Dieu est sur l’homme, et que c’est pour sa punition, l’homme est lié dans toutes ses facultés. Il est tourmenté par l’inquiétude et le besoin de l’action, et du mouvement, et par la géhenne insupportable qui tient tout son être dans une violente contraction ; mais il reste dans l’inactivité, et tout se suspend pour lui. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Il est donc bien vrai que quant à ces bruyants admirateurs du style, ce ne sont en général que leurs sens externes qui sont frappés et qui soient susceptibles de l’être d’après la direction qu’ils ont donnée à leurs facultés. Leur homme interne n’est que pour peu de chose dans leurs plaisirs, souvent pour rien. Leur imaginative y est pour tout, et encore n’est-ce pas, toujours dans sa partie rationnelle et judiciaire, mais bien plutôt dans sa partie sensible qui, chez eux, approche plus du sensitif et du conventionnel, que de la vivante réalité. De beaux vers, de belles périodes suffisent pour les transporter, n’importe que ce soit le mensonge ou la vérité qui en soit le résultat. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Le christianisme dilate et étend l’usage de nos facultés intellectuelles. Le catholicisme resserre et circonscrit l’exercice de ces mêmes facultés. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Mais ces preuves doivent prendre un nouveau caractère, à mesure que leur objet se substantialise et s’empare d’un plus grand nombre de nos facultés. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Enfin la troisième preuve qui a pour objet de démontrer les pouvoirs du ministre de la chose religieuse, et en même temps la supériorité et l’efficacité de cette chose religieuse elle-même, nous la nommerons preuve positive expérimentale, parce qu’elle gît dans les faits, et que, saisissant toutes les facultés de notre être, elle devient confirmative des deux preuves antérieures, ou de la preuve positive sentimentale, et de la preuve positive intellectuelle. Si on transpose ces différentes espèces de preuves, ou si on n’en emploie qu’une, lorsqu’il faudrait les employer toutes, peut-on condamner les adversaires de ne se pas soumettre ? TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Ce second nom engendre dans l’homme tous les autres noms partiels dont sa carrière peut lui offrir le besoin et la propriété dans les divers dons et emplois qui peuvent lui être destinés, et selon les diverses inactions et améliorations qui peuvent se rencontrer sur sa route. Aussi, quand l’Homme-Esprit se livre courageusement au travail de sa régénération, et qu’il développe l’activité des facultés qui sont en lui, il semble que, des divers points de l’horizon spirituel il se rassemble sur sa tête comme autant de vapeurs actives et vivantes qui viennent établir des sources fécondes et abondantes au-dessus de lui. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Aussi les différents Noé qui sont nommés pour présider à tous ces déluges, ont-ils à supporter l’effort des torrents de douleurs qui les poursuivent et traversent leur être dans tous les sens. Ils ne se plaignent pas même quand ils se sentent ainsi assaillis ; ils aiment que ces torrents s’accumulent en eux, qu’ils s’amoncellent et se pressent les uns et les autres jusqu’à faire des irruptions dans toutes les facultés et toutes les puissances de leur être. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Avant toutes choses, l’homme doit donc dire à toutes les facultés, propriétés et formes qui le composent : je vous ordonne, comme père et chef de famille, de vous attacher chacune à vos fonctions en moi, et de n’être pas un instant sans concourir par votre vigilance et votre activité à l’ordre qui doit régner en moi, pour que l’ordre universel me trouve prêt lorsqu’il lui plaira de s’approcher de moi. Employez constamment vos puissances à cette oeuvre particulière ; vous êtes des êtres d’action ; pour moi, il me suffit d’y employer ma volonté, parce que je suis l’image du principe. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.
Lorsque l’homme de Dieu instruit ses semblables, il n’y a donc pas une de ses paroles qui ne dût être confirmée par les signes virants son élection et de la virtuelle présence de l’esprit de vie en lui. Ainsi cet homme devrait, pour ainsi dire, n’être qu’un foyer perpétuel et inépuisable de prodiges qui pourraient sans cesse sortir de toutes ses facultés et de tous les organes de son être, puisque telle devait être sa propriété dans son état primitif, et puisque telle sera sa destination finale, quand il sera réintégré dans l’universelle source où les prodiges et les miracles n’auront même plus que des délices à réveiller et à répandre puisqu’ils n’auront plus le spectacle douloureux de l’iniquité et des désordres à contempler, ni la tâche pénible de travailler à les combattre. TROISIÈME PARTIE. De la Parole.