Dieu paternellement cherche sa créature

N’irez-vous pas vous réfugier pour échapper aux prisons (de vos superstitions) vers la pitié descendue du ciel ? Car Dieu dans son grand amour de l’humanité, s’attache à l’homme comme la mère-oiseau quand son petit est tombé du nid vole à lui et si un serpent vient à l’engloutir, « la mère voltige tout autour en gémissant sur ses chers enfants » (Iliade, Homère), Dieu paternellement cherche sa créature, la guérit de sa chute, poursuit la bête sauvage et recueille de nouveau le petit en l’encourageant à revoler jusqu’au nid. (Protreptique, X, 91)