En créant les natures raisonnables, Dieu n’avait aucune autre raison de les créer que lui-même, c’est-à-dire sa propre bonté. La cause de leur création, c’était donc lui, dont l’être n’est soumis ni à la variation, ni au changement, ni à l’incapacité. (Péri Archôn, 2, 9, 6)