Il faut traiter le prochain avec amabilité, sans la moindre ombre d’offense.
Quand nous nous détournons d’un homme ou quand nous l’offensons, c’est comme si on lui mettait une pierre sur le coeur.
Il faut chercher à réconforter par une parole charitable le courage d’un homme troublé ou abattu…
A l’égard du prochain, nous devons être irréprochables et animés d’une bienveillance égale envers tous, en paroles et en pensées ; sinon nous rendons notre vie inutile.
Il ne faut pas que l’amour du prochain, en sortant des limites de la modération, nous détourne de l’observation du premier et principal commandement, c’est-à-dire de l’amour envers Dieu, comme Jésus-Christ l’enseigne dans l’Evangile…