D’ailleurs Adam, quoique coupable, n’était plus que dans la privation de ses jouissances primitives ; il n’était plus dans la souillure du péché qui avait été lavé par le baptême de sa délivrance des mains de son ennemi, ou par ce qu’on peut appeler sa grande circoncision ou sa circoncision spirituelle. SECONDE PARTIE. De l’Homme.
Car, pourquoi cet agent divin est-il le seul qui puisse donner ainsi ce baptême universel ? Pourquoi est-il l’agneau qui ôte les péchés du monde, si ce n’est parce que sa seule présence remet tous les principes à leur place, puisqu’il n’y a de désordre que dans la transposition ? SECONDE PARTIE. De l’Homme.