Action et contemplation.

{{Discours — 4 (Ier contre Julien), 113.}} Toute la philosophie étant divisée en deux, je veux dire la contemplation et l’action, l’une plus haute et plus ardue, l’autre plus basse et plus pratique, nous les estimons toutes deux comme se complétant l’une l’autre. Nous faisons de la contemplation la compagne de la montée vers les choses du ciel, et de l’action le moyen d’accès à la contemplation. Il est impossible en effet que l’on ait part à la sagesse si l’on ne vit pas conformément à la sagesse.