En Dieu, le désir d’éros est extatique. Grâce à lui les amants ne s’appartiennent plus. Ils appartiennent à ceux qu’ils aiment. […] Dieu aussi sort de lui-même […] lorsqu’il captive tous les êtres par le sortilège de son amour et de son désir. […] Bref, du Beau-et-Bien on peut dire qu’il est objet du désir d’éros et qu’il est lui-même désir d’éros…