Discours ascétiques. — 1, n. 5. Quand le jour est passé et que tout travail de corps et d’esprit tire à sa fin, il convient avant de se reposer d’examiner en son cœur sa conscience. Si quelque chose a été fait hors de la règle, si l’on a admis une pensée défendue ou une parole inconvenante, si l’on a été paresseux dans la prière ou négligent dans la psalmodie, si l’on a désiré la vie vulgaire, il ne faut pas laisser sa faute cachée, mais la dire à la communauté, afin que la prière de tous contribue à guérir le mal de celui qui s’est abandonné ainsi.