89. Il est défendu d’entrer dans la cellule d’un autre sans avoir d’abord frappé à la porte.
90. On ne se rendra pas à table sans y être appelé par le signal général. On ne se promènera pas dans le monastère avant que le signal commun ait retenti.
91. Que personne sans coule et sans manteau n’aille et vienne dans le monastère, ni ne se rende à la conférence ou au réfectoire
92. Le soir on ne pourra pas aller sans un compagnon s’oindre et s’adoucir les mains avec de l’huile après le travail. Sauf le cas de maladie, que personne n’oigne tout son corps, ni ne se baigne, et qu’il ne répande pas d’eau sur tout son corps nu, à moins que la maladie soit certaine…
107. Que personne ne dorme en fermant sa cellule, et l’on n’aura pas de chambre qui puisse être fermée, à moins que peut-être le père du monastère l’ait accordé à quelqu’un d’âgé ou d’infirme…
120. Personne dans sa demeure ne se permettra de faire du feu, à moins qu’il ne soit allumé pour tous en commun.
121. Celui qui sera arrivé en retard d’une oraison sur les six oraisons de vêpres, ou qui aura murmuré et parlé à un autre ou bien souri, fera une pénitence, suivant l’ordre établi, pendant les autres oraisons…
126. Après les six oraisons, lorsque tous se séparent pour aller dormir, il ne sera permis à personne, sauf le cas de nécessité, de sortir de sa chambre.